25 décembre 2013

Joyeux Noël !

06h31 : Tiens, Samuel est levé... je me rendors.
07h09 : Blam badaboum! "Agnès c'est toi qui as fait ce bruit ? - non, ça doit être Simon, il s'est couché avec son camion et son tracteur hier soir il a dû en jeter un par-dessus bord"
07h17 : Simon parle. Je ne sais pas ce qu'il dit mais il le dit fort. Je vais voir. "J'ai pas fait pipi moi !"
Et il se lève. Comme il a fini de dormir, on l'emmène au salon, il trouve des cadeaux au pied du sapin. On l'aide à les ouvrir. "C'est un jouet" dit-il après avoir déchiré un peu le papier. On continue d'ouvrir et il est ravi : " C'est une boîte ! "
Ensuite il nous aide à ouvrir les nôtre. En ouvrant un des miens, ravi : " C'est un carton ! Maman c'est un carton ! "
Une fois tous ses jouets déballés, il alternait toutes les minutes, entre ses avions, ses lego et ses chevaliers. Le mieux étant de découvrir qu'il pouvait construire un avion en lego...

Et vous, Noël, ça vous a fait lever tôt ?

18 décembre 2013

Pain d'épices

250g de farine de sarrasin
250g de farine semi complète
500g de miel crémeux
250ml d'eau
3cs de rapadura
1cc de cardamone
1cc de cannelle
1cc de noix de muscade
1/2cc de graines de carvi
2 clous de girofle
une tombée d'eau de fleur d'oranger
une tombée de rhum
1 sachet de levure chimique

Mélanger les farines, le rapadura, vider le pot de miel. Faire chauffer l'eau, s'en servir pour rincer le pot de miel et verser sur la farine. Couper finement le clou de girofle. Ajouter toutes les épices, bien mélanger, ajouter le rhum et la fleur d'oranger, la levure.
Verser dans deux moules à cake en silicone (ou en pyrex, beurrés), laisser poser une heure

Préchauffer le four à 130°C, faire cuire 1h30. Démouler, laisser refroidir. Attendre au moins 24h : c'est plus facile à découper.

25 août 2013

Houmous

J'aime les recettes conviviales, tremper des bouts de légumes crus dans une sauce, tous autour du pot. Le houmous n'est pas une sauce, plutôt une purée, qu'on étale généralement sur du pain. Quand on sait que c'est une purée de pois chiches, on se rend compte qu'on met des féculents sur un féculent, c'est comme mettre des pommes de terre sur une pizza : pas pour moi. Je préfère le manger avec des carottes, du concombre, du céleri branche...
Comme je ne suis pas la seule à apprécier ce principe, on m'a demandé la recette : la voici.
500 g de pois chiches crus
2 cs de moutarde à l'ancienne
4 feuilles de laurier
quelques brins de thym frais
10 cm d'algue kombu (réduit le temps de cuisson)
5 cs de purée de sésame demi complet (ou de tahin)
épices (facultatif) : cardamone, cannelle, cumin
huile d'olive (j'y vais toujours au pif, "une tombée")
jus de citron (dans l'idéal, 1 citron pressé)
2 grosses gousses d'ail frais (facultatif)
ciboulette ou basilic ou estragon ou persil
de l'eau

une cocotte-minute
un mixer-plongeur

Faire tremper les pois chiches 24 h puis enlever l'eau et les faire germer en les mouillant 3 fois par jour pendant 24 h de plus.

Les mettre dans une cocotte-minute avec 1 litre d'eau, le laurier et la moutarde, l'algue kombu rincée et découpée, les feuilles du thym, et les épices, bien mélanger. Faire cuire 20 minutes après la mise sous pression (si pas d'algue kombu, compter 30 ou 35 minutes). Laisser refroidir.

Ôter le laurier, ajouter la purée de sésame, mixer, ajouter l'huile d'olive et le jus de citron, mixer encore, éplucher et presser l'ail, ajouter et mixer encore. Découper la ciboulette, le basilic ou l'estragon, mélanger : c'est prêt !

note : le pois chiche cuit se congèle très bien, le houmous aussi, en revanche l'ail y perd sa saveur.

le test du sac à main

Le jeu était proposé par Working-Mama pour l'anniversaire de sa fille. Si j'ai une fâcheuse tendance à laisser traîner dans mon sac à main des trucs qui devraient finir à la poubelle, j'y fais régulièrement le ménage. On y trouve donc une collection de cartes de fidélités, un stylo et un paquet de mouchoirs, parfois un biberon d'eau et un sachet de biscuit si j'ai Simon avec moi, mais finalement rien de bien intéressant.
En revanche, là où je balade bien trop de bazar sans envisager pour autant de l'enlever, c'est dans ma boîte à violon.
Outre l'instrument lui-même et son archet, mon coussin, de la colophane, et naturellement des cordes neuves et un diapason, j'ai deux sourdines (une suffirait mais parfois, j'en prête une), une pièce de soie marron (chute de ma robe de mariée), des photos, une boîte de 12 crayons de couleurs (pour tartiner les partitions) et un taille-crayon, un porte-mine et une gomme, des partitions bien sûr, des aimants pour les faire tenir sur mon puptire en cas de vent, un coupe-ongles et une lime en verre dans son étui, un micro pour violon, un métronome, un petit nounours (vendu avec le pupitre), des cordes cassées que je n'ai toujours pas posées au point de collecte, un foulard noir parce qu'on doit être en noir pour les concerts et que parfois il fait froid, mon foulard de concert (vert), un miroir et du maquillage (fards à paupières vert, rose et violet-comme mon ancien foulard-, poudre "fond de teint", avec la mousse pour l'appliquer, crayon et rouge à lèvres), et un foulard de coton pour tenir ensemble tout ce qui pourrait se promener un peu trop.

22 août 2013

défi pour Samuel

Depuis longtemps déjà, Simon aime jouer à l'ordinateur sur les genoux de Papa. Qui doit donc adapter le choix du jeu ou sa façon de jouer à la présence d'un enfant de 2 ans. Il emmenait donc Simon chasser les lapins ou faire du bateau dans Assassin's Creed, laisse Simon aux commandes et se retrouve entrain de voler sur une falaise. Simon donne des coups de couteau par terre dans Dishonored. Joue avec une manette pendant que Papa pilote pour de vrai dans ses jeux de voiture. Et Samuel a récemment acquis le dernier Splinter Cell, auquel Simon a voulu l'aider à jouer. Certes j'avais l'habitude qu'il essaie, quel que soit le jeu, à faire le moins de morts possible, mais là, comme on dit, "Y a du level"...

21 août 2013

"beiache"

Simon aime nous regarder préparer à manger, et nous aider. Piquer les morceaux de tomates qu'on coupe pour la salade, mettre un couvercle sur la casserole, mettre du sel, des pâtes, faire la sauce de la salade, dire "c'est cuit" quand coupe le feu ou quand le four sonne. Il aime quand on fait "brrr" avec le batteur ou le mixeur. Il aime quand on fait un gâteau.
J'ai trouvé une recette de brioche sympa sur game of mômes. J'ai arrondi un peu : 175g de beurre au lieu de 170, parce que je me sers des marques sur l'emballage, et 25g de levures pour 2 brioches parce que ça fait un cube entier quand on les prend à Carrouf, et puis j'ai ajouté une tombée de fleur d'oranger parce que je suis fan. Simon m'a aidée à la faire, il avait compris que c'était de la farine et des œufs, ça lui avait bien plu d'étaler ça sur la plaque (oui, parce que moi, j'étale sur la plaque en deux "boudins" plutôt que d'utiliser des moules à cake.
Le résultat était sympathique, même si mon utilisation de farine semi-complète avait fait croire à beaucoup qu'il s'agissait de pain, et même si je la trouvais un peu trop grasse. Simon, lui, n'avait pas voulu la goûter, pas assez carrée, pas assez pliable pour en faire une tartine de nutella, cette "beiache" il avait aimé la faire, mais le résultat ne l'inspirait pas. Moi j'ai eu envie d'en refaire une (enfin, deux).
Un midi, j'ai découpé 300g de beurre demi sel en lamelle dans mon saladier, j'ai mis le couvercle et j'ai laissé ramollir. Le soir, avec Simon, on a ajouté 500g de farine, 60g de sucre, le cube de 25g de levure fraîche, une tombée d'eau de fleur d'oranger, et 6 œufs. A chaque œuf cassé, Simon disait "gagné".
On a mélangé avec le batteur électrique, on a remis le couvercle et on a laissé lever toute la nuit.
Jeudi matin, Simon s'est levé comme une flèche quand j'ai ouvert sa porte. Était-ce la perspective d'ouvrir les volets ou celle de préparer la brioche ? Nous avons étalé la pâte en deux "boudins" et placé dessus des pralines, que je recouvrais de pâte avec une cuillère. Une demi-heure à 180° après, j'ouvrais le four, je coupais un morceau pour que Simon partage avec ses copains et sa nounou, j'en prenais pour partager avec mes collègue, et j'en laissais une complète pour ma petite famille.


Bilan : tout le monde semble apprécier. Mais la prochaine fois, je mettrai un peu de pâte, les pralines et le reste de la pâte par dessus, pour éviter que ce qui dépasse ne sèche.

2 juillet 2013

Rire avec Simon

Simon a égaré son jouet sous un meuble : "Maman le guc (truc) l'est là !"
Moi, après avoir attrapé un journal pour le glisser sous le meuble en question : "Attends, touche à rien, avec un peu de chance on va le récupérer." Lui : "Chance ?"
Je récupère le jouet, et de la poussière (vue la hauteur du meuble on ne peut pas passer l'aspirateur dessous...)
- miettes ?
-  Oui il y a plein de poussières là-dessous c'est crade.
- C'est crade ! (très fier de l'avoir prononcé correctement). Je ris, il rit avec moi. Je pense qu'il va ressortir ce mot à la première occasion. Et que "chance" va désigner les journaux.

12 mai 2013

fondant chocolat-marron

Je n'ai pas suivi la recette de Tellou, déjà testée précédemment, et approuvée.  Mais là j'avais envie que ça ressemble un peu plus à un brownie, je n'avais pas de farine de châtaigne, je n'avais pas de fromage blanc, et j'avais la flemme de sortir la balance. Je suis partie du principe que la crème de marron c'était comme de la farine de châtaigne avec du sucre et j'ai fait simple : que des quantités entières, telles qu'on les trouve dans le commerce.

Voilà donc, pour deux gâteaux :
250g (une plaque standard) de beurre demi-sel
400g (2 plaques) de chocolat pâtissier 70%
992g (une grosse boîte) de crème de marron
6 oeufs (une boîte)
1 sachet de levure
2 moules à manqué

Faire fondre le beurre et le chocolat au bain marie.
Préchauffer le four à 180°C
Ajouter la crème de marron, la levure et les oeufs, en mélangeant au fur et à mesure.
Verser dans les plats.
Enfourner, 45 minutes. Quand c'est cuit, entr'ouvrir le four pour évacuer la vapeur et le refermer, aller se coucher sans les sortir.

Autant vous dire qu'il a été validé, c'était exactement ce que je voulais, Simon adore, moi aussi.

18 avril 2013

Comme le temps passe...

Samuel était persuadé que cela nous fait trois ans. Mais c'était bien en 2009.



Et on est bien contents de l'avoir fait, c'était une belle journée.

14 avril 2013

"Nimé !"

"Je suis nul en insectes", me confie piteusement Samuel. Voilà qu'il s'est retrouvé à regarder "Minuscule" avec Simon.
Mes parents nous ont offert cette série pour Noël, pour Simon. J'ai lu l'idée sur un blog de maman, ça m'a semblé pas mal, j'ai soumis l'idée... et on a pu découvrir. Ce sont des histoires de petites bêtes, une coccinelle qui taquine des mouches, un escargot rêveur... Simon n'accrochait pas vraiment aux dessins animés à la télé le samedi matin, trop de dialogues peut-être, trop longs sûrement, au bout de 2 minutes il se levait et se mettait à jouer (mais il ne fallait pas éteindre, non, surtout pas). Dès qu'il a commencé à regarder Minuscule, il a décidé que les dessins animés de la télé, ce n'était pas des vrais, le vrai dessin animé c'était ça.
Mais, s'il est capable de jouer tout seul un long moment, Simon n'aime pas regarder les dessins animés tout seul. Il veut un de ses parents pour lui raconter ce qui se passe. Souvent c'est moi. Et si je m'avise de ne rien dire, il me rappelle à l'ordre "c'est qui là ?"... et donc, ce jour-là, allez savoir pourquoi, c'est Samuel qui s'y est collé. Déjà qu'il n'accrochait pas spécialement à la série avant que Simon ne prenne l'habitude de demander, il s'est senti tout bête devant cette bestiole verte et ailée qui... ah ben elle fait kss kss kss, ça doit être une cigale. Et ce truc long et noir c'est quoi ? "Un mille-pattes" je lui réponds. C'est ce que j'ai toujours dit à Simon en tout cas. Parce que j'ai l'air de m'y connaître mais en vrai je ne sais pas la différence entre un mille-pattes, un scolopendre et une iule.
...
Je viens de vérifier. Ce machin-là en fait, c'est plutôt une iule. Mais bon, on ne va pas chipoter : en Simon, on a affaire à "aignée", "nelle", "illon", "niye" (d'ailleurs dans cette série, la différence entre une chenille verte et un vers tient seulement à...ce que dit le titre), "ago", "igal", et "poum à l'eau". Oui, Simon a une façon très particulière de prononcer le mot "libellule".

12 avril 2013

Vive le foot !

Simon apprend à jouer au foot avec le fils de sa nounou. Avant de marcher, il prenait nos mains pour pousser du pied un petit ballon. Maintenant, il place le ballon, se prépare, shoote, réclame son papa pour jouer avec lui dans le couloir... et aussi, il aime les jeux de foot sur console. Le fils de sa nounou joue sur Wii, Samuel sur XBox, et Simon réclame en ouvrant le placard "but, but". Et d'apporter la manette à son papa. Il n'a pas bien compris comment ça marche, mais le bruit du stade est assez clair, il crie "BUT !" quel que soit le camp qui marque. Et Samuel perd -un peut trop souvent à son goût. Et donc ça le saoule, et plus ça le saoule, plus il perd, et plus il perd plus ça le saoule.
Mais en fait, globalement, ce jeu le saoule un peu. Souvent il y joue parce que Simon le lui a demandé (et Simon s'en lasse avant la première mi-temps !).
Hier soir, Samuel avait commencé une partie quand nous sommes arrivés, Simon est très vite venu assister au premier but... que Samuel encaissait, et il m'a confié : "Ce jeu me saoule. J'avais envie d'y jouer, pourtant je sais qu'il me saoule." Je lui ai demandé "en fait tu t'es dit 'Tiens je vais me prendre une cuite' et c'est pour ça que t'as lancé ce jeu, c'est ça ?" Oui, exactement.

2 avril 2013

Capoué !

Il y a bien longtemps, quand notre mariage n'était qu'un projet sur lequel nous émettions les délires les plus fous (tong-paréo et pique-nique "canadien" sur l'herbe par exemple), nous disions que les premiers mots que nous apprendrions à nos enfants seraient du genre compliqués et qui ne ressemble à rien d'autre, comme "aquarium" ou "aérospatial". Bon, vous avez bien vu qu'on a fait autrement.
Mais, dès le départ, nous n'étions pas du genre à trouver les mots là où ils ne sont pas. Au contraire, nous n'entendions souvent pas les mots là où ils étaient.
Et Simon, de son côté, s'il aimait beaucoup les mots à interprétation multiple ("dedans", selon le contexte et la gestuelle, pouvait signifier "il faut ranger", "moi aussi je veux du parmesan" ou encore "mais rajoutez-lui du beurre à ce petit vous voyez bien qu'il n'aime pas sa purée telle quelle !"), a aussi choisi des mots précis et très durs à prononcer. J'ai donc été la seule à comprendre son "erhh". Il voulait un couvercle.
Et puis, il a commencé à utiliser des mots de transition. Oui, oui, Simon dit "d'abord", et ça veut bien dire que ça vient avant, même s'il n'y a rien qui vient après. Il dit aussi "alors". Et, répétant les mots de son papa qui bricole, "assuite". Désormais, chaque mot doit être contrôlé si l'on ne veut pas qu'il en apprenne certains...

21 mars 2013

C'est le printemps !

L'hiver se débat comme un poisson tombé de son bocal, il a envoyé quelques vagues de neige, mais on n'y croit pas, c'est de la neige de printemps, on le sait bien. D'ailleurs dimanche, j'ai visité mes plantes, je les ai déballées. Certes, j'ai laissé leurs protections à l'olivier et au figuier, mais les autres prennent le soleil au risque de geler la nuit. Je les ai arrosées, j'ai vu qu'une pensée était allée coloniser mon Osmanthus heterophyllus 'tricolor'  et que mes fraisiers sortaient de nouvelles feuilles. Ce blog a hiverné, tellement qu'on n'a pas souhaité la bonne année. Il est temps de le réveiller et pour cela je vais profiter du tag lancé au hasard par Nekkonezumi (je vous parlerai d'elle à l'occasion) qui pense ne plus avoir de lecteurs. 
Je vais être confrontée au même problème qu'elle : ai-je encore des lecteurs ? et parmi eux, qui tient un blog ? De ce que j'en sais, il y en a potentiellement cinq, dont deux blogs plutôt graphiques. Mais je vais quand même me casser la tête, à répondre à ses questions, et à en pondre 11 autres, et tant pis si elles ne se dessinent pas.

1- Mais qu'est-ce que ça peut faire comme cri un kangourou ?
Je ne sais pas. Dans quel pays se pose-t-on le plus la question ? En Italie, c'est plutôt à propos du crocodile qu'on se demande...

2- Tu tires ou tu pointes ?
Je tire, pour me retrouver à la pointe. Mais généralement, et surtout quand c'est censé être naturel, je me retrouve très vite à contr'archet.

3- Tu dors dans quelle position ?
Si je le savais, si je pouvais le maîtriser, je n'aurais sans doute (presque) jamais mal au dos, au bras, ou des fourmis dans les mains ou les pieds en me levant. Mais pour la sieste c'est toujours sur le dos, et en étant pleinement consciente que je dors.

4- Turf, Boule et Bill ou Vive la France ?
J'ai vaguement entendu parler de Boule et Bill, il a l'air marrant. Mais on ne va pas trop au cinéma, nos goûts divergent beaucoup, les places sont trop chères pour prendre le risque d'être déçus, et puis quand on se décide à confier Simon pour la soirée on tâche de se coucher pas trop tard...

5- Puisqu'on cause navet, tu mets quoi dans le pot au feu, toi ?
Je ne fais pas de pot-au-feu. Et comme je suis plutôt portée sur le sucré, j'aurais tendance à aller me fournir chez nos voisin helvètes aux alentours du 12 décembre.

6- Tu ne sors jamais sans il/elle, c'est quoi ?
J'ai beau chercher, concrètement, il n'y a pas d'objet particulier que j'emporte partout. Même si le jeu du sac à main de Working Mama ferait ressortir un paquet de cochonneries assez impressionnant. Parce qu'il m'arrive de sortir sans sac à main, sans mon portefeuille, et même j'oublie mon téléphone.
Ah si, j'ai trouvé : je prends toujours mes clés.

7- Pourquoi y a-t-il autant de questions dans cette chaîne ?
Parce qu'elle a été pondue par un amateur de foot.

8- Et toi, tu photographies tes assiettes ? Parfois, régulièrement, ou seulement quand ça a l'air spécialement dégoûtant ?
Jamais. Vraiment.

9- Est-ce que tu as peur des tempêtes ?
Non. Je n'y pense simplement jamais.

10- Sandra passe encore à la radio. Vrai ou faux ?
Sur les radios que j'écoute, aux heures où j'écoute, il n'y a pas de Sandra. Peut-être qu'elle a fini par s'équiper, côté literie...

11- Sourire puisque c'est grave ou faire la gueule pour le plaisir d'Herbert Léonard ?
Sourire, puisque c'est grave. Faire la tête, c'est moche, c'est fatiguant, et ça ne me fait pas plaisir, même si je suis une grande râleuse devant l’Éternel.

Et maintenant, mes questions à moi : 

1- D'où tu connais mon blog, toi ? Et qu'est-ce qui te plaît tant que tu y sois revenu(e) ?

2- Vide ton sac à main (ou à défaut, TOUTES tes poches) : qu'est-ce qu'on y trouve ? Si tu possèdes un gros paquet de cartes de fidélité, tu n'es pas obligé(e) de toutes les citer mais prends au moins la peine de les compter...

3- Une chanson pour enfant ?

4- Pendant combien de temps est-ce qu'on va l'avoir dans la tête maintenant ?

5- Quel est ton accent préféré ?

6- La dernière musique que tu as entendue, c'était quand, c'était où, c'était quoi ?

7- Parmi tous les trucs que tu as dû apprendre "par coeur" de la maternelle à la fin de tes études, y en a-t-il dont tu te souviennes encore ? (ça peut être en-dehors de l'école aussi)

8- La dernière fois que tu as ri ?

9- As-tu ta carte de membre au Club des Fans de Jeux de Mots Pourris et Autres Blagues Dignes de François Pérusse ? (Prouve le !)

10- Est-ce que tu manges les troncs des brocolis ? Cuits ou crus ?

11- Raconte moi un truc insolite. Si tu n'en as jamais vécu, projette-s-en.


Allez, dis moi tout, et donne le lien. Si tu n'as pas de blog (ou qu'il ne s'y prête vraiment pas, mais faudra quand même nous donner l'adresse !), tu peux répondre en commentaire.