7 mai 2012

potager

Voilà, donc, je l'avais demandé, je l'ai eu : mon potager de balcon. Je ne l'ai pas monté tout de suite, parce qu'il faisait vraiment un temps tout pourri à ne pas mettre le nez sur le balcon, parce que j'avais une tendinite, et parce que je n'avais encore rien à y mettre. Mais une semaine après, le 29 avril, nous l'avons monté. Enfin, c'est surtout Samuel qui a bossé, j'avoue avoir été très très quiche sur ce coup-là. Incapable de me servir d'un tournevis (par contre, j'ai déjà utilisé avec succès une scie circulaire. Mais bon, là, il n'y en avait pas besoin.) Et vendredi dernier j'ai reçu les premières petites plantes à mettre dedans. J'ai donc investi dans 70l de terreau (60*60*20cm, le compte y est) et j'ai profité de la sieste de Simon dimanche pour planter :
  du persil      de l'estragon    de la sauge
 et cinq variétés de fraises (gariguettes, charlottes, gento, gorella et fraises des bois). Il reste un peu de place pour les tomates cerises, qui seront bientôt disponible chez mon fournisseur préféré. Si avec ça on ne passe pas un bel été...
Maintenant il faut que je fasse réviser mon vélo, et on y montera le siège pour Simon, comme ça je pourrai l'emmener en balade, le long du Thiou ou en direction de la plage de Sevrier (quand je serai devenue une vraie sportive, on partira pique-niquer au bout du lac -avec Samuel et son vélo bien sûr- , on y fera une petite sieste, on y prendra un bon bain et on rentrera. Par le même côté, parce que la côte de Menthon, elle est trop dure pour moi et puis, on doit y rouler sur la route, alors non, c'est pas pour une famille ça.)

4 mai 2012

différences de style

C'est une évidence, les enfants imitent, ils apprennent des autres enfants autant que de nous, leurs parents. Mais dans ces nouveaux comportements chacun garde son style. La nounou de Simon a gardé quelques mois un petit Farfadet de 2 ans et demi, qui s'est remis à marcher à quatre pattes se voyant entouré de petits qui ne savaient pas encore marcher debout. Mais s'il a régressé sur ce point, il n'a pas perdu la façon de faire des caprices, se rouler par terre en hurlant. Et Simon a cru bon d'en faire autant. Enfin, à sa manière : quand il ne veut pas que je lui ferme sa veste, il s'assoit sur mes pieds, puis glisse lentement sur le dos. En souriant. (Bon oui, si, parfois, on l'a quand même entendu crier et pleurer bien fort. Mais ça reste le style de notre petit charmeur !)