22 décembre 2010
Et oui parfois il ouvre les yeux, en voici la preuve
Oui je sais on ne voit pas plus la couleur de ses yeux, mais pour info ils tournent de plus en plus au marron... comme ses parents.
12 décembre 2010
"Joyeux anniverslurp"
7 décembre 2010
Musique
5 décembre 2010
Notre petite journée et notre longue nuit
Simon a été nourri à la maternité aux alentours de 8h et après 6h de sommeil il s'est réveillé à la maison. Que de changements, il a donc passé une grande partie de l'après-midi à regarder le monde qui l'entourait. Nous les "grands" (on reste un peu de grands enfants quand même) on ne peut pas se rendre compte à quel point une nappe rouge est un objet intrigant qui peut mobiliser l'attention d'un nourrisson durant des heures. Au final la journée fut plutôt calme (tout est relatif on part quand même du principe qu'il y a un bébé à la maison qui mange environ toutes les 4h).
Le plus dur finalement fut la soirée, il avait un peu de mal à manger... disons qu'il se réservait pour plus tard... NCIS en fond sonore il gigotait et somnolait par alternance. Finalement le premier à s'endormir fut son papa à 20h30 (oui je sais je crains). Agnès donna un repas à Simon à 23h puis le changea pour enfin venir se coucher. La fête pouvait enfin commencer.
23h30 : Simon n'arrive pas à dormir dans sa nacelle qui se trouve loin de ses parents (au moins 40cm).
00h00 : Maman prend Simon dans ses bras pour le calmer
00h10 : Simon est calmé et Maman le repose entre Papa et elle.
00h15 : Simon trouve qu'il devrait se mettre à la natation et gigote donc dans tous les sens
00h20 : Papa le prend dans ses bras
00h25 : Simon est calmé et Papa le repose entre Maman et lui.
00H35 : Nous revoilà à la piscine
00h50 : Papa se lève pour aller changer Simon
01h10 : Simon est changé, mais il a aussi faim que s'il avait subi un siège.
01h15 : Papa confie Simon à Maman pour qu'elle lui donne le sein.
01h30 : Finalement tout ce beau monde se calme avec Maman d'un côté, Simon au milieu qui mange en dormant et Papa de l'autre côté.
01h35 : Tout le monde dort... ouf enfin
06h00 : Simon a de nouveau faim (pour changer).
06h10 : Simon mange
06h35 : Il est rassasié.
06h45 : Maman se lève pour le changer.
07h00 : Papa prend Simon dans ses bras pendant que Maman se rendort
07h30 : Maman et Simon dorment, Papa somnole dans le lit
09h00 : Papa se lève, mais avant attrape son appareil photo pour immortaliser l'instant.
Donc au final ce n'est pas qu'on ne peut plus faire de grasse matinée, c'est juste qu'on peut pas dormir pendant la nuit. Les gens sont médisants.
4 décembre 2010
Il est un privilège qu'on aimerait garder toute sa vie...
3 décembre 2010
1 décembre 2010
Simon est là
Bientôt quelques photos
21 novembre 2010
Impatience
16 novembre 2010
"Bon, quand est-ce qu'il arrive?"
Les paris sont donc ouverts.
23 octobre 2010
dessert
20 octobre 2010
sac à main
D'autres ont un sac énorme, dans lequel elles peuvent mettre une grande bouteille d'eau et des fruits et légumes pour 3 jours (c'est moi ça, enfin, parfois), ou encore une trousse de maquillage aussi grande que leur salle de bain.
Généralement, on y trouve le portefeuille, souvent plus conséquent que celui de leurs hommes, un paquet de mouchoirs, un chéquier, des lunettes de soleil, et plein de trucs en vrac. Parfois même les papiers de Monsieur dont les poches sont trop petites...
Et pourquoi le portefeuille de Madame est-il si conséquent ? Outre des photos de leur famille, les filles ont tendance à y garder une collection impressionnante de cartes de fidélité : magasins de fringues plus ou moins spécialisés, d'alimentation bio, hypermarchés, librairies, boutiques de cosmétiques...
J'ai réduit mon portefeuille, grâce à une poche de mon sac à main, qui contient ma collection de cartes. Parfois je me dis que je ne devrais pas les emporter partout, c'est de l'encombrement inutile. Mais je sais bien que, le jour où j'en aurai besoin, je les aurai oubliées à la maison (même ne sachant parfaitement dans quelle(s) boutique(s) je dois me rendre).
Et puis, il y a des situations comme hier matin, où je me suis félicitée de garder sur moi tout ce barda : j'ai sorti deux cartes de fidélités pour gratter la rosée gelée sur le pare-brise de la voiture. Promis, on retrouvera les outils adéquats sous peu, mais en attendant, on était bien contents de faire avec les moyens du bord.
10 octobre 2010
soirée séparés
_ Oh, et tu les a fait danser avant de les ramener à la maison ?
_ Non, on a plutôt joué à Civ5"
6 octobre 2010
J'assume...
Bon, nous n'aimons tous deux ni le rap, ni le R'N'B, ni la techo, et souvent, quand je n'aime pas du tout, il y a peu de chances que Samuel apprécie. En revanche il y a bien des musiques que j'aime et pas lui (chanson francophone à texte...), et quand il me dit "Elle est nulle ta musique" je lui réponds généralement "Tu n'aimes pas, c'est différent".
Ce matin pourtant, j'avais envie d'écouter O-zone. Et je reconnais moi-même que ce n'est pas de la bonne musique, vraiment... mais ça me faisait sourire. Oui, ça m'a mise de bonne humeur. Il y a pourtant bien d'autres musiques qui peuvent mettre de bonne humeur, Lilly Allen par exemple, mais non, là c'était vraiment leur tube "Dragostea Din Tei" que j'avais envie d'entendre.
Parfois c'est comme ça, j'écoute des trucs nuls, et j'assume. Malgré les protestations de Pioupiou (quoi qu'en fait, peut-être qu'il a aimé, qu'il "dansait", et je devrais peut-être ne pas trop écouter ça si je ne veux pas risquer qu'il le veuille en berceuse plus tard !)
19 septembre 2010
Le nouveau jeu de Samuel
Et puis, il y a Samuel. Qui cherche à ouvrir les noix sans en casser le fruit. Et qui réussit.
dimanche d'automne
Des tours pour prendre des photos, on en a fait, on l'impression qu'il n'y a plus rien qu'on ait pas encore fait à Annecy. Depuis un moment, on ne sort en ville le week-end que si on a un truc à acheter ou "magasiner". Alors quand Samuel m'a dit qu'il avait envie de sortir à vélo prendre des photos au bord du lac, ça m'a surprise. Et lui, ça l'a un peu surpris que je veuille l'accompagner. Un pull, une écharpe, une gourde, son appareil photo et nous voilà en route. Nous avons profité de la nouvelle piste cyclable en direction d'Annecy-le-Vieux, et nous sommes posés un moment. Attendre que le soleil veuille bien se remontrer, rire des cygnes qui voudraient qu'on les nourrisse... C'est toute une famille, qui draguait les promeneurs et chassaient un jeune harle bièvre de leur zone de "mendicité".
J'aime beaucoup la photo que Samuel a prise.
17 septembre 2010
Question du jour
Maintenant vous savez...
(merci NewsDay)
8 septembre 2010
Sondage
29 août 2010
Dodo...
21 août 2010
bricolage et vues de l'esprit.
12 août 2010
Encore une histoire de pluie
4 août 2010
inhabituel
"T'as envie de sortir ?
_ Mff (levant le nez de mon bouquin), t'as une idée précise ?
_ Bof non."
Puis quelques minutes plus tard :
"Et si on allait à la plage ?
_ ... Toi, tu proposes ça ? Et à cette heure-ci ? Mais ça va être blindé...
_ Mais j'ai envie de nager...
_ D'accord. Mais on prend pas ma voiture.
_ Ben non, on y va à vélo."
Et c'est comme ça qu'on est partis, malgré le ciel plutôt incertain, rejoindre tous ceux qui lézardaient sur la plage des Marquisats. Pas grand'monde dans l'eau, c'est toujours bien. Par contre, pour poser nos affaires, il a fallu chercher.
Le soir, sur la table, il y avait tout le nécessaire, et rien de plus, pour manger nos spaghetti. Mais, après cette après-midi déroutante, il manquait aux yeux de Samuel le couvert que je mets toujours par habitude et qui ne sert jamais dans ces cas-là : un couteau...
29 juillet 2010
Noix
Moi j'aime bien les noix. Alors pourquoi j'ai autrefois laissé moisir des noix dans leur sac au fond d'un placard ? C'est justement ce que j'ai expliqué à Samuel après avoir accepté un (gros) sac de noix de ma maman : parce que, dans leur sac au fond du placard, je ne les vois pas donc je ne pense pas à les manger. Mets des tablettes de chocolat dans un sac au fond d'un placard, je ne les mangerai pas non plus, j'oublierai qu'elles sont là. Il a donc fallu trouver un endroit intelligent où les ranger, de façon qu'on les voit, mais que ça ne fasse pas "laissé trainé".
Voilà, c'est trouvé : le sac est bien dans un placard, mais un bol de bois, sur la table, contient des noix, ainsi je les vois, je les mange. Et du coup, Samuel y goûte aussi... parce que ces noix-là, pour la plupart, ne nécessitent pas d'instrument particulier, nos mains musclées suffisent à les ouvrir. Et finalement, elles filent, les noix sur la table, parce qu'elles ont un goût bien sympathique, finalement.
22 juillet 2010
Pluie d'été (songes d'une ?)
19 juillet 2010
Venise, mardi 6 juillet
Malgré notre avance il y a bien de la queue. Heureusement, il fait gris, je ne souffre donc pas trop de la chaleur, et à l’ouverture, on avance assez vite. Bien qu’il soit interdit de prendre des photos et d’utiliser des téléphones portables, mais tout le monde flashe tout, qui avec un compact, qui avec son téléphone. L’ensemble est assez décevant, beaucoup de doré, trop chargé, pas d’explications. C’est le genre d’endroit qui mériterait une « visite Casa » mais où tout le monde se suit en troupeau pressé.
Une fois dehors, nous cherchons à petit déjeuner : c’est qu’hier, la faim nous avait pris pendant la visite, mais elle était passée. Cette fois, c’est trop court. Nous dégustons un gros biscuit chacun devant une église (la façade est équipés de bancs de pierre). A nos pieds, deux pigeons, un gros et un maigre, se battent pour nos miettes. Plus précisément, le petit les attrape et le gros l’attaque pour les lui piquer. Heureusement que le plus maigre est aussi plus rapide et esquive les coups. Ils nous tournent autour un long moment, et c’est un des rares moments où j’aimerais avoir une caméra tellement ils sont drôles.
Nous prenons tranquillement route vers le Nord, pour aller visite Ca’Pesaro. L’art moderne, c’est décidément bizarre. Et c’est ce qui occupe en fait l’essentiel du bâtiment. Nous reconnaissons tout de même « Le Penseur » de Rodin (le vrai), ainsi que les « bourgeois de Calais ». au dernier étage, une exposition d’objets asiatiques, essentiellement japonais : des armes et armures, lances, sabres, et aussi boîtes à tout, peignes, peintures, un paravent magnifique (je veux le même dans mon salon).
A midi, nous n’avons pas encore faim, et allons donc tenter notre chance au Palazzo Mocenigo. J’ai gagné : il est ouvert. Une exposition sur le tissu : une série d’œuvre d’arts, et des costumes de l’époque roccoco, en plus du mobilier, des tentures, des plafonds.
Et si nous prenions le vaporetto pour rentrer ? Après tout il est payé pour la semaine, et justement la station est à deux pas. Un petit tour assis, nous descendons au marché du Rialto pour acheter des fruits, allons poser nos sacs et acheter des sandwiches. Et comme nous en avons pris l’habitude, sieste au frais. Longue, la sieste. A 18h il pleut, et nous voyons tomber à l’eau notre projet de déguster une part de pizza posés sur des marches en plein air (marre du restaurant…). Finalement l’averse est courte, ça sèche vite, c’est tout ce qu’on voulait. Demain on rentre. On ira juste petit déjeuner, avant de rendre la chambre, et on sera en avance à l’aéroport…
18 juillet 2010
Venise, lundi 5 juillet
17 juillet 2010
16 juillet 2010
Venise, dimanche 4 juillet
Le village, quasi-désert, nous fait donc un peu penser à un récit de Perceval dans Kaamelott. Les façades des maisons sont encore plus colorées qu’à Murano. Nous marchons tranquillement, cherchant l’ombre. Il y a pas mal de chats ici, toujours à l’ombre, à somnoler. Après avoir doublé un groupe de touristes descendus d’un bateau avec leur guide, nous franchissons le pont qui mène à Mazzorbo. C’est plein de jardins. La chaleur est écrasante : même à l’ombre, marcher est dur et nous nous arrêtons très vite. Nous décidons finalement de rentrer. Par chance, un bateau est justement à quai pour le retour.
Depuis le bateau, Samuel prend quelques photos des îlots que l'on voit, avec végétation et ruines, l'église attenante au cimetière. Je l'arrête avant qu'il ne rentre l'appareil photo : je ne sais pas exactement qui représente cette statue, j'ai suggéré l'Ankou...
Il est tout juste midi, nous en profitons pour visiter l’Eglise des Jésuites. Elle est très belle, mais les photos sont interdites, hélas, et les quelques cartes qui sont vendues ne sont vraiment pas à la hauteur de ce « potentiel ».
Posant nos sacs à l’hôtel, nous passons le Rialto pour aller manger : une part de pizza assis sur les marchez d’une église. Nous nous perdons ensuite un peu dans les rues. Demi-tour, retrour sur nos pas, nous rentrons écrire nos cartes postales et faire la sieste.
Le soir, alors que nous sommes en terrasse au Nino Risorto, un orage éclate. La pluie ne se met à tomber que lorsque nous sommes dans notre chambre. Nous avons demandé à l'accueil quelles sont les prévisions météos : orage toute la nuit, beau dès demain matin, très chaud.
14 juillet 2010
Venise, samedi 3 juillet
5h42, Samuel m’enlace en murmurant « Ton petit mari il s’est trompé d’heure il a cru qu’il fallait se lever. » Le réveil sonnera dans une heure, il est déjà propre et rasé… mais nous arrivons à sommeiller encore. En quittant l’hôtel, je saisis au vol le petit déjeuner d’un héron. Nous négligeons le vaporetto qui arrive pourtant : nous irons plus vite à pieds. A 7h nous arrivons sur la place quasi déserte.
A notre grande surprise, outre quelques autres photographes avisé, nous rencontrons aussi 3 « pintades » qui se photographient avec leur téléphone, dans des chaussures et des tenues qui rendent la marche peu aisée (encore plus sur des pavés…) Samuel s’en donne à cœur joie, de mon côté je saisis la toilette d’un pigeon : nous ne les nourrissons jamais, mais ils peuvent faire des photos insolites.
Après le petit déjeuner, nous prenons le vaporetto en direction des jardins. C’est calme, c’est vert, nous apprécions de glandouiller sur un banc, sur l’île de Sainte Hélène. Puis, après avoir acheté quelques fruits au marché et cherché vainement les toilettes, nous allons nous perdre dans le quartier du Castello. C’est le quartier populaire, presque pas de touristes, du linge pendu au-dessus des rues, des chats qui dorment aux fenêtres.
Nous cherchons l’Arsenale, tournons autour en vain, jusqu’à tomber sur un panneau « enceinte militaire ». Nous cherchons à aller au Nord-Ouest, vers la basiliques Saints Jean et Paul, mais malgré la boussole, nous revenons à notre point de départ. Il nous faut revenir dans une des zones couvertes par notre carte détaillée pour enfin nous diriger correctement. Nous achetons dans une boulangerie des foccacia pour compléter notre repas, et à l’aide du plan retrouvons cette fameuse basilique, en vu de la visiter après notre pique-nique sur le premier banc à l’ombre venu.
Le banc à l’ombre en question est en fait juste derrière la basilique, nous n’avons pas trouvé plus près. Petits sandwiches, abricots, foccacia (elles sont un peu sucrées, c’est surprenant et délicieux), brugnon. Attention le brugnon en pique-nique, oubliez toute élégance. Si vous ne savez pas aspirer le jus (quand je dis d’oublier l’élégance je veux dire passer en mode « T-Rex », pour de vrai !), vous en aurez plein les doigts…
Il faut payer pour entrer dans la basilique. J’y vais, Samuel n’en a pas très envie. Mais après réflexion, rester dans à l’entrée en m’attendant ne le tente pas non plus. Il paie donc et me rejoint, jouant avec son appareil photo.
Lorsque nous rentrons à l’hôtel, il est si tôt que la chambre n’a pas été faite. Pour patienter, nous allons manger une glace le long du canal. Par cette chaleur, ça fait du bien…
11 juillet 2010
Venise, vendredi 2 juillet
Dur de se lever ce matin. Après le petit déjeuner, nous nous rendons place Saint Marc pour visiter le musée archéologique. 9h30, les boutiques sur le chemin ne sont pas encore ouvertes, les boutiques sur le chemin ne sont pas encore ouvertes, les touristes sont rares. Le musée archéologique fait maintenant « partie » du musée Correr. Va pour la double visite. Nous constatons que, lorsqu’ils faisaient sculpter leurs bustes, les Romains ne souriaient pas. Comme Arthur sur les pièces de monnaie. Suite du programme : Saint Georges Majeur. Mais comment y aller ? Il faut trouver le bon vaporetto. Alors que nous l’attendons, en arrive un qui va à Murano. « On y va ? » propose Samuel. Une telle improvisation de sa part est surprenante, mais comme je dis souvent : « ça occupe ». nous descendons à Navagero et, par pur esprit de contradiction, ne suivons pas les touristes vers la « glass factory ». Nous déambulons le long d’un canal, les façades sont jolies, tout est calme.
Après cette longue journée, pas fâchés de nous doucher. Nous avons trouvé facilement le restaurant où nous voulions manger. Nous avons d’ailleurs poussé la grille un peu trop tôt, avant l’ouverture, et c’est en Français qu’on nous a accueillis. Est-ce qu’il n’y a bien que des Français pour débarquer à une heure pareille ou bien est-ce que c’est à notre allure que nous sommes repérés ? Une dorade grillée à la polenta, une pizza calzone, nous sommes très contents du repas au Nino Risorto. Ce soir il faut se coucher tôt : nous prévoyons d’aller photographier la place Saint Marc vide demain matin.
visite matutinale
10 juillet 2010
Venise, jeudi 1er juillet
Nous empruntons le Fondamente Zattere ai Saloni en direction de la « promenade Zattere ». Mais à cause du soleil, nous prenons très vite une ruelle adjacente ombragée et, suivant vaguement la direction, finissons par nous perdre et nous croire beaucoup trop loin. Nous revenons un peu sur nos pas, jusqu’à apercevoir … Santa Maria della Salute ! Peine perdue, demi tour. Au moins nous savons où nous sommes.
Vers midi, le restaurant que nous visions est trouvé, mais un risotto ne nous dit rien, il fait trop chaud. Nous achetons plutôt des fruits et, cherchant un endroit où se poser, ajoutons 2 mini pizzas. Dur de trouver des marches à l’ombre dans un endroit sympathique. Nous renonçons à ce dernier critère. Au bord d’un canal, nous observons en mangeant les efforts d’un petit crabe à escalader une marche sous-marine.
Nous nous mettons ensuite en route pour l’église « San Pantolon ». Oui, prononcé à la française ça me fait sourire. Du coup j’aimerais bien en savoir plus sur ce saint qui n’existe pas en Français. Son martyre est illustré sur la plus grande toile du monde, 900m². Mais nous ne le verrons pas : l’église est fermée jusqu’à 16h, il est 13h15 et nous en avons bien assez de marcher pour envisager de revenir sur nos pas après la visite prévue de Ca’Rezzonico. Nous rentrons en vaporetto, nous rafraîchir à l’hôtel : il est 15h15…
Après une bonne sieste, nous cherchons dans notre guide un restaurant qui servirait un risotto de poisson pour le soir. Celui qui nous semble bien est un dans un quartier où nous n’avions prévu aucune visite. Nous décidons alors de prendre tout de suite une douche, et d’y aller en flânant. Da Alberto est facile à trouver, et beaucoup plus près que prévu. Nous faisons donc une bonne promenade, de Santa Maria dei Miracoli à la basilique San Giovanni è Paolo, fermées toutes les deux. Nous admirons l’hôpital civil (il en jette, il faut bien dire ce qui est), et Samuel photographie pour moi un oiseau qui nous intrigue : il est assez gros, mais avec un plumage « camouflage » et un cri qui fait pleur.
L'osteria da Alberto est sympathique, le risotto est excellent, nous reviendrons sûrement...
Venise, mercredi 30 juin
vélo
8 juillet 2010
Une petite photo pour la nostalgie
29 juin 2010
Chouette !!!
28 juin 2010
Final Fantasy
15 juin 2010
foot
Tomate-mozza
30 mai 2010
pensée philosophique
28 mai 2010
Monsieur patate
Et voici une parodie faite par la société scandinave Opéra concurrente de Google :
J'ai beaucoup rigolé mais par contre il faut absolument les regarder dans l'ordre, Google, et après Opera.
(je m'excuse pour cet humour d'informaticien, je ne me rends pas compte si les autres peuvent comprendre ou pas. En tout cas j'en suis à mon 4ème visionnage et je me marre toujours autant).
25 mai 2010
Midi et val 2...
24 mai 2010
Midi et val...
Cette année, nous avons pris notre courage à deux mains un dimanche matin pour nous rendre aux Grandes Médiévales d'Andilly. Si Samuel y était allé il y a bien des années, ce n'était pas mon cas.
On nous avait prévenus, il fallait partir tôt, il y aurait du monde. Mais avec un concert la veille (ouverture des Vocales de Thônes), se lever à 7h me fut impossible. Nous avons donc pris la route à 9h30, munis de notre pique-nique, d'une bouteille d'eau et d'un appareil photo.
Il y en avait, du monde ! Tellement que nous n'avons pas trouvé de place pour voir le combat de joutes. Nous en avons donc profité pour visiter les zones moins animées. On en profite mieux quand il y a moins de monde. Et c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés vers les "coulisses" du spectacle, là où les chevaliers s'apprêtaient à entrer en scène. C'est là que Samuel a pu prendre cette photo...
10 mai 2010
Des hommes beaux, de Guillaume Canet et de Romain Duris
Aujourd'hui encore, il est difficile de me faire dire que tel ou tel est beau, surtout s'il est célèbre. Et parmi tous ceux que j'ai trouvés beaux depuis le début de ma vie, rarissime sont ceux qui sont blonds et/ou aux yeux bleus.
En revanche, si j'ai des goûts contestables en matière de musique, de fringues, ou un tas d'autres choses, quand je prend la peine de dire qu'un homme est beau, on ne me contredit pas*. Et la première chose que j'aie pensé en voyant Samuel, c'est que justement "Oh, waouh comme il est trop beau lui... !!!". Quelle ne fut donc pas ma déception lorsque, sur le blog de Dadou, à la question "Oh, waouh comme il est trop beau lui... !!! ... Oui, mais qui ??? " je ne trouvai ni "mon petit mari" ni même "l'homme de ma vie" (il n'y avait pas trop de raison de mettre en toutes lettres le nom de quelqu'un que les lecteurs ne connaissent pas forcément). Alors, parmi les réponses, je ne m'étendrai pas sur Brad Pitt, on ne m'avait jamais demandé si je trouvais Bruce Willis beau, mais je dois dire que pour Guillaume Canet j'étais même totalement incapable de citer un film où il a joué. Après avoir cherché des photos sur Internet, je ne le situais pas tellement mieux. Il est souriant pourtant, beaucoup plus que Romain Duris dont le charme tient sûrement au fait que ses personnages sont du genre tourmentés. C'est probablement pour ça que 19 filles attendries ont "fait dans le social", tandis que 10 personnes (dont moi) ont préféré élire Bernard le Canard.
* Ceux qui ont connu Machin viendront peut-être me dire que lui n'est pas beau. Eh bien justement, je n'ai jamais dit qu'il l'était. Ah, et puis si, j'ai un contradicteur : Samuel conteste toujours quand je dis qu'il est beau. C'est bien le seul.
24 avril 2010
Week-end Ange-vin
Donc, le week-end dernier, nous avons traversé la France pour nous rendre à Angers au mariage d'Astrid et Damien. Nous avons dû renoncer au train, qui n'aurait pas pu nous ramener à bon port, et avons pris vendredi 16 la voiture de Sam. Direction : Lyon, Saint-Etienne, Clermont-Ferrand, Vierzon, Blois, Tours, Angers. C'est pratique l'autoroute...
Notre mission de samedi matin consistait à aller chercher des amis à la gare. Le premier train n'arrivant qu'à 10h30, nous avons pu faire un tour à pied dans la ville pour visiter un peu : tour du château, quelques pas dans le centre historique.
Sur le chemin du retour, nous avons fait halte dans un magasin de maquettes : Samuel y a trouvé son bonheur...
Entre les retards de trains, l'hôtel où nous devions nous changer et garer la voiture, l'internat où d'autres devaient poser leurs affaires, l'appartement d'Astrid et Damien où nous avons mangé sur le pouce, ce fut un peu la course à pieds.
Mais nous sommes arrivés à l'église dans les temps.
Le vin d'honneur et la soirée se tenaient au château de Plessis-Macé, où Samuel s'en est donné à coeur joie avec son appareil photo.
Nous avons tout de même quitté cette joyeuse soirée parmi les premiers : c'est que dimanche 18, nous voulions éviter de fêter nos noces de coton avec une pizza devant la télé, trop fatigués par le voyage...
Comme souvent, dimanche matin, nous nous sommes réveillés tôt (pour un dimanche, 8h, c'est tôt. La route était bonne, calme. Samuel a dormi l'après-midi, lorsque j'ai pris le volant. En arrivant en vue du Semnoz, j'ai eu le plaisir de l'entendre dire "ça me manquait presque, quand même, de voir les montagnes"...
14 avril 2010
à l'attention d'un commentateur
1/ je n'ai pas besoin de les supprimer pour qu'il n'apparaissent pas, je filtre avant
2/ il y a des parties de notre vie privée que je n'expose pas sur ce blog, c'est justement privé, ça ne le regarde pas.
3/ les commentaires sans signature, c'est lâche, ça tient de l'insulte gratuite.
4/ ce n'est pas parce qu'on est sur Internet qu'il faut s'autoriser des fautes d'orthographe, en Français comme en Anglais. C'est vrai qu'il m'arrive d'en faire, mais là on voit bien qu'il n'a pas pris la peine de se relire...
26 février 2010
Devant un film
- Tu fais quoi par terre ?
- Je cherche mon chausson sous le canapé.
- Ah oui, tiens moi il me manque une chaussette.
- Elle est là, tiens.
- Et l'autre elle est où ?
- Ben, à ton pied...
Bon, pendant que je suis là, je vous donne quelques liens vers des blogs de graphistes qui m'ont bien fait rire : j'ai beaucoup apprécié Jérômeuh dont j'ai trouvé la référence sur le blog de laurel, ainsi que Tim (je ne sais plus comment je suis tombée dessus). Les liens pointent vers des articles en particulier, parce que justement je les ai trouvés drôles. Et si vous avez d'autres liens à proposer, n'hésitez pas !
23 février 2010
ballon suisse
Ils n'ont l'air de rien, comme ça, ces exercices tout en lenteur et en travail statique, mais en fait, après les avoir fait, on a super mal aux jambes. Samuel ne veut pas me croire, j'hésite encore à lui coller le ballon sous les pieds et à lui en faire faire une série... Je crois que je devrais.
20 février 2010
délectation
13 février 2010
Playing with myself
7 février 2010
De la pluie et du beau temps...
21 janvier 2010
Attention les yeux et les oreilles
5 janvier 2010
massage réveil
Allongez-vous sur le dos. Placez vos index entre vos yeux et décrivez de petits cercles. Chaque index va, de son côté, passer ensuite toujours en petits cercles tout autour de l'oeil pour revenir au point de départ. Répétez trois fois. Descendez ensuite l'arrête du nez de la même façon, et massez-vous le bout du nez. Un petit saut, et hop, vous voici au-dessus des lèvres. Posez parallèlement les majeurs dans le creux du menton (quand on le fait sur quelqu'un c'est plus difficile), pour envoyer vos doigt se rejoindre aux coins de la bouche.
On passe aux oreilles : il faut d'abord masser le crâne en traçant le contour arrière de l'oreille, faites donc attention en arrivant sous le lobe, tout faux mouvement peut être très douloureux. Il faudra ensuite vous triturer les oreille, du haut vers le bas.
Enfin, massez le cuir chevelu, en partant du front, jusqu'à l'arrière de la tête.
Voilà, vous pouvez vous lever.