31 décembre 2009

Pour Alice-Claire

Il y a des gens qui ne prennent pas Joe Dassin au sérieux. C'est vrai que "les petits pains au chocolat ya yaya ya", ce n'est pas de la grande poésie, et qu'il n'évoque pas les échecs amoureux avec le drame de Jacques Brel. Mais justement : quand nous étions colocataires, Alice-Claire m'a appris à écouter, pour se remonter le moral, celui qui chante que "ça va pas changer le monde", et dont on peut résumer une chanson par "je me suis pris un gros râteau, tralala" (à vous de remettre le bon titre).
Un soir, il y a de cela bien quelques mois, Samuel avant dans la tête "tagada voilà les Dalton", je lui ai raconté la fin. A son travail ils ont un jeu très rigolo qui consiste à envoyer par messagerie instantanée un lien vers une chanson qui reste dans la tête : il a donc pu retransmettre les Dalton, ainsi que (et il s'est mis à l'écouter car ça le fait marrer) "Billy le Bordelais". Nous remercions donc Alice-Claire pour ce cadeau.

19 décembre 2009

méthodes et façons de faire

Hélène Bruller, dans "Je veux le Prince Charmant", explique qu'il y a deux vraies différences entre les hommes et les femmes, qui sont 1/ la façon d'enlever un pull-over et 2/ la façon d'enfiler les collants. Pour le second point, je n'ai pas pu expérimenter, pour le premier, on va en parler un peu. D'après elle, les hommes enlèvent leur pull en l'attrapant par le dos du col, créant ainsi au fil du temps une déformation qui finira par avoir l'allure d'une capuche, tandis que le femmes enlèvent "une manche, puis le col, puis l'autre manche". Si au collège, j'ai beaucoup pratiqué le "enlever son T-shirt sans qu'on voie mon soutif", comme la plupart des filles dans les vestiaires de gym, j'ai en revanche gardé pour les pulls, la plupart du temps, la méthode enseignée par ma maman : on croise les bras, on attrape le bas du vêtement, on tire en levant les bras. Certes, on retourne son pull (ou son T-shirt) et il faudra donc un peu plus de temps pour le plier, mais au moins on évite de faire un trou sous les bras. Parce que, après avoir lu cette BD avec moi et avoir très bien perçu le reproche de l'auteur fait aux hommes, il a expérimenté la méthode "des femmes" et, comme ça m'est aussi arrivé aussi, Samuel a troué un pull. Il m'a donc demandé comment je faisais, moi. Promis, il va s'entraîner. Et si vous vous sentez concerné, vous devriez en faire autant.

12 décembre 2009

Réseau

Comme je l'ai dit, immédiatement après note emménagement, on a eu accès à Internet. Le PC était connecté avec la "box" dans le bureau. Mais, quand on a eu notre bel écran, on l'a mis dans le salon, avec le décodeur TV et donc aussi, forcément puisqu'il est branché dessus, ladite "box". Donc, plus d'Internet dans le bureau*. Samuel a envisagé plusieurs solutions : une carte WiFi, mais pour jouer en ligne c'est pas top, du courant porteur, mais blabla, faire courir un câble entre le salon et le bureau, donc il faut 20m de câble et le mettre au mur proprement sous le cache déjà en place, bof, ou bien acheter un routeur (ou autre chose mais j'ai oublié le nom)...
Cet après-midi quand nous étions en ville, nous avons fait un crochet chez son fournisseur de matériel informatique préféré, avec pour lui l'intention d'acheter une carte WiFi. Je lui ai dit avant d'entrer "pose la question quand même, ça coûte rien" avec le ton qui dit "si tu le fais pas je le fais, tant pis si j'ai l'air niais".
Et on s'est retrouvé avec deux prises de (blabla, courant porteur). Vite branché, vite fonctionnel. Samuel a cherché son vieux switch de quand il était étudiant, pour qu'au salon, la XBox puisse aussi être connectée au net. Et il a bidouillé des trucs avec les ordinateurs, bla, mot de passe. Il n'y arrivait pas avec son PC, apparemment la fonctionnalité n'a pas été prévue pour Windows 7, il a essayé avec le MacBook et il a même ressorti le très vieux portable, qui marche encore très bien. Et après avoir mis un super mot de passe genre un être humain normalement constitué ne peut pas le retenir, il a dit "reste plus qu'à trouver un endroit intelligent pour le cacher." Et après avoir trouvé cet endroit intelligent, il a finalement déclaré que "si je veux ajouter un poste ou changer la configuration, je mettrai un nouveau mot de passe pour tout le monde, ça ira plus vite que de retrouver l'ancien." C'est malin.
* pour ceux qui se posent la question, non je n'ai pas posté mon dernier article depuis mon travail : le MacBook est en WiFi...

6 décembre 2009

changement d'adresse

Non, ce n'est pas ce blog qui change d'hébergeur. C'est nous. Nous avons trouvé notre nouveau chez-nous. Après d'âpres négociations (heureusement que la maman de Samuel a su faire pour nous), nous avons signé dès la fin de nos vacances le compromis et, il y a dix jours, nous avons eu les clés de notre nouvel appartement. J'ai passé du temps au téléphone, pour l'eau, pour le gaz, pour l'électricité, pour le téléphone... L'électricité devait être mise en place le 27, l'eau y était déjà, le téléphone viendrait tout de suite et le services internet/télé sous 15 jours.Le week-end du 21 novembre déjà, nous commencions à remplir les cartons.

Et donc le week-end dernier, nous avons déménagé : samedi, migration des cartons, des meubles démontés, achat de nouveaux meubles pour notre nouveau salon... et même d'un nouveau lit, un peu plus grand. Dimanche, montage des meubles. Vous pouvez voir ici Samuel en pleine action...
Nous avons constaté, le samedi soir déjà (28 novembre) que notre accès à Internet était fonctionnel.
Vendredi soir (avant-hier), nous avons acheté notre bel écran pour le salon. Et nous avons pu constaté que nos services "télévision" étaient encore "en cours de migration". Dommage ? On a quand même regardé un DVD.
Hier, Anna (la maman de Samuel) et moi sommes allées chercher les papiers peints pour les pièces que nous voulions changer : le bureau, et notre chambre. Ainsi que les rideaux, pour toutes les pièces. Cet après-midi, opération bureau.



Comme on peut le voir sur la première photo, les murs étaient originellement peints en jaune-orange. Nous avons choisi, pour le mur où s'appuie le bureau, un rouge "cerise" qui fait très villa romaine, et pour les autres murs, un blanc "craie", sur lequel le canapé ressortira mieux. Pour plus de classe, nous avons mis en rappel le rouge sur le caisson du volet : le rideau sera beige. Et Samuel repeindra probablement en blanc l'encadrement de la porte.

22 novembre 2009

C'est de saison

Comme tous les ans en cette période, chacun risque un coup de froid quelconque. Cette année, il y a en plus une psychose qui fait vendre à tous les coins de rue des gels pour se laver les mains. En fait, on devrait se laver les mains tous les ans, et même avec deux gels à chaque fois, car ils ont beau s'appeler tous "hydroalcoolique", certains sont efficaces contre les virus, d'autres contre les bactéries, mais aucun à ma connaissance ne fait les deux.
Avec toutes ces histoires, on est censés éviter de se serrer la main. N'empêche qu'en termes de relations sociales, ça casse un peu et du coup, en déplacement, on serre quand même des mains à tout va. Et dans mon cas, on ferait tout de même mieux de faire la bise... Je m'explique : on ne peut pas se laver les mains juste après avoir serré la main des gens, au risque de passer pour impoli et "microbophobe". Donc je serre des mains, puis j'allume mon ordinateur et j'y pose les doigts... les microbes pourront tranquillement être rapatriés à mon bureau.

19 novembre 2009

Nouvelle Technologie du Voyage

En soi, les nouvelles technologies, c'est souvent très bien, très pratique. Mais bon, je me souviens d'avoir répondu à Samuel "C'est pas parce que tu as un GPS que tu ne sais plus lire les panneaux, si?" un peu sèchement. Il faut dire, il me reprochait, d'une façon pas vraiment mouillée non plus, de ne pas savoir me servir de son nouveau jouet.
(Oui, je suis une quiche avec les machines, et je me sais capable de les faire planter comme personne. Alors pardon si je demande comment on fait plutôt que de chercher)
Un GPS c'est pratique parce que si on doit faire un détour, ou qu'on ne choisit pas la route qu'il nous suggère, il recalcule l'itinéraire et il nous amène quand même à bon port. A une condition toutefois : qu'il connaisse la route que l'on emprunte. Et justement, la nouvelle autoroute entre Annecy et Saint Julien/Genève, il ne la connaît pas. Heureusement que je savais où j'allais, ce matin, parce que pour lui, pendant une bonne demi-heure,
j'ai volé au-dessus des champs,
et ça, je trouve que c'est marrant.

15 novembre 2009

la flemme du dimanche soir

Qu'y a-t-il de plus agréable, les dimanches après-midi où la nuit tombe tôt, que de se poser tranquillement ? Probablement se poser tranquillement avec un bon thé (d'Yvine). En l'occurrence, un thé vert à la bergamote, avec pour Samuel une bonne cuillerée de miel de lavande.

14 novembre 2009

La conspiration des glandus...

Il y a des jours comme ça, vous connaissez sûrement : vous voudriez avancer sur vos travaux en cours, vous attendez une réponse, et la terre entière -sauf la personne dont vous attendez quelque chose- vous téléphone, pour vous demander des trucs :
- j'arrive pas à lancer .... (blabla)
- j'aurais besoin d'un bilan des ... (tralala) pour demain matin huit heures
- je comprends pas, ça rame. J'arrive rien à faire aujourd'hui y a rien qui marche et on m'interrompt tout le temps (tiens ça me rappelle quelqu'un).
- je veux une modification de la sphère de singularité de cette naine rouge. Pour avant-hier...
Même pas le temps raccrocher le téléphone qu'il faut répondre à un autre coup de fil, et pendant la conversation bien sûr le téléphone sonne encore trois fois. C'était même pas vendredi 13, non. C'était jeudi, mais il faut bien le dire, le jeudi est le jour où le téléphone sonne le plus. C'est drôle, juste le jour où Gigi n'est pas là...

8 novembre 2009

brownie santé

Le titre pourrait choquer : le brownie, comme chacun sait, contient une quantité non négligeable de beurre, cuit qui plus est. L'association de ce gâteau avec le mot santé plutôt que plaisir a donc de quoi intriguer. Beaucoup trop de gens pensent que l'alimentation "santé" consiste à manger des légumes bouillis insipides. C'est contre cette idée que se sont battus les docteurs Richard Béliveau et Denis Gingras quand ils ont écrit "Cuisiner avec les aliments contre le cancer". Leur but était de donner des recettes avec lesquelles on puisse se dire "je mange des légumes par plaisir" et non plus "je mange des légumes parce que c'est bon pour la santé". On y trouve donc des recettes variées qui permettent de manger de tout avec goût. Bien sûr des fruits, des légumes, mais aussi des viandes et ... du chocolat ! En insistant sur la nécessité de cuire ensemble viande et légumes pour le goût, et d'ajouter des épices...
Malgré un chapitre sur l'obésité, ces recettes n'éliminent pas systématiquement les graisses tant décriées ; ce brownie contenait donc ce qu'il devait : du beurre, du sucre, du chocolat, des oeufs. Et aussi, des noix, et des flocons de châtaigne. Si tous ne sont pas tombés sur le bon flocon, les collègues de Samuel ont beaucoup apprécié le résultat, que je n'ai moi-même pas goûté.

1 novembre 2009

Dessins

Je dessine comme une quiche. Parfois je m'en sors avec un schéma, mais ce n'est même pas toujours le cas. Mais j'adore surfer sur les blogs d'illustrateurs/trices. Par exemple, quand j'ai vu ce dessin, j'ai immédiatement pensé à quelqu'un. Mais pas à Samuel.
Celui-ci m'a fait penser à la même personne.
Ceux qui ont souvent à se déplacer pour leur travail apprécieront ce blog.
J'ai commencé à consulter les blogs des illustrateurs de VDM, et sur ceux qui m'ont plu, j'ai trouvé des liens vers les blogs de leurs copains. De fil en aiguille, j'en ai découvert un paquet comme ça, dont j'apprécie l'humour autant sinon plus que le trait de crayon (Samuel est beaucoup plus exigeant sur le dessin lui-même). Parfois c'est le thème aussi, et finalement, un certain nombre ayant publié des BD, ça donne aussi des idées de cadeaux.
Si je voulais tous vous les mettre ce post deviendrait un gigantesque lien, alors je vous en mettrai sans doute d'autres plus tard.
En attendant, si vous avez envie de m'en faire découvrir, je suis partante...

à four chaud...

Longtemps, j'ai négligée l'indication "à four chaud" des recettes de gâteau. Parce que je pouvait toujours en tester la cuisson avec un couteau pour allonger le temps. Je me souviens aussi du four de mes parents quand j'étais petite. Il était à gaz, muni d'un minuteur : il fallait avoir tourné les bouton du thermostat ET du minuteur pour pouvoir l'allumer (avec une allumette, si si). Ce four s'arrêtait tout seul une fois le temps écoulé, sans prévenir personne bien sûr, mais la chaleur résiduelle suffisait parfois à pallier le préchauffage. Pour des gâteaux qui n'étaient sortis que le matin (on les mettait à cuire le soir), c'était très bien. En grandissant, j'ai voulu sortir les gâteaux chauds et me suis impatientée de ne pas les trouver cuits en temps voulu. C'est là que j'ai appris, soit à préchauffer le four, soit à tenir du temps de préchauffage, d'une part, et qu'il ne sert à rien de monter la température (ça fait brûler le tour sans bien cuire l'intérieur), le phénomène étant valable aussi pour ce qu'on cuit en casserole.
Jongler avec les temps de cuisson, c'est pas mal pour des gâteaux, surtout quand on fait fondre le chocolat avec une quantité variable d'eau bouillante. C'est très jouable avec des truites, dont on estime la cuisson à l'état de l'œil. Mais c'est beaucoup moins bien pour tous ces aliments qui poussent en sachet dans le freezer...

28 octobre 2009

Samuel qui joue

Quoi de plus exaspérant qu'un "pff! mec" vous racontant ses exploits à Doom en réseau face à quelqu'un dont l'ordinateur est un peu vieux ? Ce même mec vous racontant ses exploits à VRallye ou ses manœuvres en voiture. Mais Samuel n'est pas de ce genre-là. Je veux dire, il a bien joué à Doom lui aussi, et il joue à des jeux de voiture, mais il ne passe pas la journée du lendemain à expliquer comme il est bon à ce jeu. J'ai un mari formidable. Même, je suis (pour l'instant encore) souvent dans la même pièce que lui quand il joue, et je trouve ça drôle. Il me montre la belle voiture qu'il a gagnée (il voudrait bien la même en vrai, mais pour le prix, s'il n'y a pas la place de mettre un siège de bébé à 'arrière, je vote non), ou bien il commente sa stratégie à Total War, c'est piquant. Par exemple
"Tiens j'ai envie d'attaquer la France, juste pour rire. Je suis sûr que je peux y arriver.
_ Tu peux arriver à quoi, à attaquer la France, ou à en rire ?
_ Attaquer la France, que ça me fasse rire et que je gagne."

Et plus tard :
"Je commence à avoir un trop grand territoire pour déplacer mon armée d'un bout à l'autre.
_ Du coup t'en laisses traîner un petit peu partout ?
_ J'ai plusieurs armées. C'est vrai que ça ressemble un peu à laisser traîner ses affaires. Sauf que moi mes affaires qui traînent elles sont rangées dans des villes stratégiques.
_ Oh, on peut laisser traîner ses affaires dans des endroits stratégiques aussi."

la nuit, l'hiver

Oui je sais, on n'est pas encore en hiver, mais il fait déjà suffisamment froid pour que le chauffage de l'immeuble ait été mis en route (et ce matin dehors, le froid mordant a fait couler mes yeux).
Du coup, maintenant il fait un peu trop chaud sous la couette (mais sans la couette c'est limite frisquet). Alors on dort moins bien, on se réveille plusieurs fois par nuit en ayant trop chaud. Et qui a dit :
"Je me suis réveillé(e) vers 4h, j'avais soif, mais c'était bien trop loin la cuisine alors j'ai décidé d'oublier et je me suis rendormi(e). Mais vers 5h30 je me suis de nouveau réveillé(e) et devine quoi : j'avais soif. C'était encore trop loin alors je t'ai plutôt fait un câlin."
?

25 octobre 2009

Un jeu qui me plaît

Il y a déjà pas mal de temps que nous avons une DS. Pas la voiture de Citroën, mais la console de jeu de Nintendo, avec même quelques jeux adéquats. Samuel y jouait quelquefois le midi avec ses collègues, et un jour, l'un d'eux lui a prêté un jeu qui devait me plaire. Et il m'a plu. Contre toute attente, car les jeux qui me captivent sont en général des jeux pour lesquels il n'y a pas besoin de cerveau, ceux qui occupent les mains quand j'écoute mes podcasts.
Ce jeu qui m'a plu, c'est "Le professeur Layton et l'étrange village". Une petite histoire, des énigmes à résoudre. Je n'irai pas me vanter d'être hyper balèze en énigme : pour celles de logique, je m'en sors généralement bien, par contre s'il s'agit de faire le lien entre la vue 3D d'un dé et son plan de montage, je dois sortir papier, crayon, ciseaux... mais je relève le défi. Du coup, comme il fallait bien le rendre, je me le suis acheté, pour le finir. Et, plus récemment, je me suis acheté la suite. Et je suis presque sûre que j'achèterai les volumes suivants !

23 octobre 2009

scène de la vie quotidienne (?)

J'ai les cheveux lisses. J'adorerais avoir les cheveux bouclés. Enfin, j'en ai déjà parlé... En plus, maintenant que je fais du vélo, je mets un casque sur ma tête, pour aplatir c'est assez radical. Au début de l'été, suivant le judicieux conseil de ma collègue Estelle, je me suis fait faire une permanente. La coiffeuse m'a conseillé d'utiliser la crème frisante pour que ça ait encore plus de boucles, mais j'ai beaucoup de mal à m'en servir, je ne sais vraiment pas l'appliquer. Il y en a toujours trop d'un côté et pas assez de l'autre. Reste que ma permanente tient drôlement bien, c'est la coiffeuse qui me l'a dit quand elle m'a remis un coup de peigne pour le mariage de Clémence.
Donc, me voilà avec un peu plus de frisettes et, du coup, je me démêle avant de me laver les cheveux, surtout pas après, ça casse les boucles.
Un samedi matin, vers 11h. J'ai les cheveux encore humides et nous sommes attendus pour le repas, nous commençons donc à nous préparer. Samuel me fait remarquer que je pourrais me peigner. Je n'ai jamais osé le rembarrer avec des arguments tels que "t'y connais vraiment rien aux coiffures de fille". Je serre les dents, je me démêle, et il voit bien que ça me contrarie. Ben oui, voilà, maintenant je suis démêlée, ça se voit, mais j'ai les cheveux tout aplatis. Courageusement, il sort ma crème, le sèche-cheveux, et s'attèle à me coiffer. Eh bien, il y est arrivé mieux que moi. C'est hyper vexant !

14 octobre 2009

"On aurait dû envoyer des (plus de) femmes sur la lune"

Ce sont des hommes qui ont été envoyés les premiers dans l'espace, et ce n'est que très tard que des femmes ont été intégrées aux programmes spatiaux. Pourtant, deux chercheurs, Donald Flickinger et Randy Lovelace, avaient estimé qu'il serait plus "rentable" d'envoyer des femmes :
- parce qu'elles sont plus légères et qu'il faudrait donc moins de carburant pour les propulser
- parce qu'elles consomment moins d'oxygène (quand il faut l'emporter en bouteille, ça compte !)
- parce qu'elles ont une meilleure santé cardiovasculaire
- parce que leur système reproductif résiste mieux aux radiations.

Bien que leur idée n'ait pas été retenue, ils ont choisi à titre privé d'entraîner des femmes et de leur faire passer tous les tests d'aptitude soumis aux spationautes. Il s'est avéré que 68% d'entre elles les passaient avec succès, contre seulement 56% chez les hommes. Mais dans les années 50, les femmes étaient trop souvent reléguées à leur cuisinière pour que ce genre de résultat n'intéresse en haut lieu...

11 octobre 2009

dimanche matin

J'étais dans un château, on refaisait les lits en attendant le conférencier qui était annoncé avec un retard de 50 minutes environ, et il faudrait aussi que je téléphone à Estelle pour qu'elle me donne sa fameuse recette de coulis de pêche vers midi et demie. Et puis, je me suis réveillée et pour le coup j'ai mis un instant à reconnaître où j'étais. Il faut dire qu'il manquait un élément dans la pièce : Samuel. Il était 8h et d'ordinaire, quand il n'arrive plus à dormir le week-end (généralement vers 7h15 ou 7h30), il allume son ordinateur, il ne disparaît pas. D'ailleurs il dit souvent quelque chose comme "j'en ai marre de dormir".
Il était à la cuisine, il peignait sa nouvelle maquette d'avion, dont il avait l'air plutôt content. Rassurée, j'ai pu retourner dormir une bonne heure.
Finalement levée, je me suis contentée d'un verre de jus de pomme en guise de petit déjeuner (vraiment pas faim, non) avant d'aller prendre une douche et me laver les cheveux. Et pendant que Samuel prenait le relais, je lui ai piqué sa place devant l'ordinateur. "Mais qu'est-ce que je vais faire, moi ?" me dit-il tout ennuyé. Et comme je n'avais pas l'air décidée à lui rendre sa place, il a allumé le MacBook et chargé le jeu (toujours des billes...) auquel je jouais, parce qu'on ne peut pas jouer à CoH sur le MacBook.
Et puis, cet après-midi, nous avons fait des cookies (ça c'est juste pour rendre jaloux les gourmands)

3 octobre 2009

Déplacement professionnel

Les déplacements professionnels, heureusement que ce n'est pas tous les jours... Déjà quand on est en couple, on se retrouve séparé(e) de sa bouillotte préférée, l'élu(e) de son coeur avec qui on aime partager des blagues et des soirées. De ses enfants aussi, si on en a.
Et puis, il faut parfois traverser la France avec une voiture pleine de barda, ça prend déjà la journée rien que pour le trajet. Mais bon, ça permet aussi d'essayer une nouvelle voiture sans se sentir obligé d'expliquer pourquoi on ne compte pas l'acheter...
Il y en a qui ont eu quelques surprises avec leur hôtel parfois.
Avec toute cette route on arrive crevé le soir dans une ville qu'on a pas le temps ou pas le courage de visiter. Ce n'est pas toujours une perte, mais quand même.
J'ai donc passé deux jours cette semaine à Evreux. Chance : il a fait beau. Moins de chance : sur un salon on passe la journée enfermé loin des fenêtres, on n'en profite donc pas tellement. Mais quand même, c'est sympa un salon : j'ai pu mettre des têtes sur les voix que j'ai au téléphone depuis un an et demi, et ce fut réciproque ; nous en avons aussi profité pour échanger quelques spécialités régionales (non, pas du reblochon, trop de trajet).
Et puis, sur le chemin du retour, nous avons pu découvrir un chouette petit chateau, encore assez peu connu des voyageurs de semaine : nous l'avions en entier pour nous.
L'année prochaine le salon se tiendra à Nice : là c'est sûr, on trouvera le courage d'aller se baigner. Ce n'est pas parce qu'on sera début Octobre qu'on ne le fera pas, on n'est pas des chochottes !

26 septembre 2009

隊長1


隊長1
Mise en ligne par osaka_takayuki
[Private joke mode ON]
Un très très très grand Bernard.
[Private joke mode OFF]

Vous ne comprenez rien à ce message?
C'est normal.

22 septembre 2009

Occupation du week-end



Ce week-end nous sommes allés à St Hilaire pour la coupe Icare 2009.
Merci à l'association "La tête dans les nuages" de nous avoir invités, et encore bravo à leurs Marsupil'zamis.

20 septembre 2009

Vacances : samedi 12 et dimanche 13 septembre

Voilà, ces deux jours-là, nous avons profité du (enfin) soleil pour faire ce que nous avions prévu : bronzer et nous prélasser sur la plage. Les fins d'après-midi se couvraient certes un peu, mais nous avons tout de même rougi, tous les deux.
Comme il n'y a pas grand-chose à dire, j'en profite pour remercier TV5 Monde d'avoir occupé nos débuts de soirée durant la semaine, avec en particulier le journal de la TSR (on a vraiment adoré, si, si), Thalassa, et même une pièce de théâtre (Oscar) devant laquelle nous nous sommes bêtement endormis.

Lundi matin, nous avons dû nous lever avant 5h, pour aller à l'aéroport. Comme nous avions tout de même deux heures à y occuper, nous avons fait comme beaucoup d'autres, nous sommes allés visiter une boutique de Duty Free, en se demandant si on pouvait y trouver un bon objectif d'appareil photo. La réponse est non. Par contre nous y avons rencontré une tortue, qui nous a demandé de la sortir de cet endroit sans fenêtre. Nous voilà donc avec une peluche de plus sur la table de nuit...

18 septembre 2009

Vacances : vendredi 11 septembre

Ce matin, petit déjeuner anticipé et départ pour Héraklion. Le ciel est gris mais il ne pleut pas. Nous appréhendons tout de même, les prévisions ne sont pas des meilleures...
Et voilà, dans le car nous rencontrons la pluie. En ville, nous récupérons notre guide, et nous allons directement à Knossos. Nous constatons que les marchands d'ombrelles ont vite troqué leurs produits en parapluies et ponchos mais, joueurs, nous parions que la pluie ne sera pas gagnante. Après nous être acquittés de notre droit d'entrée nous pénétrons sur le site.
Pour l'archéologie, vous trouverez votre bonheur sur le web, je vous fais confiance.

Vous pouvez donc ici admirer des jarres, qui prennent joyeusement la pluie (ce sont des reproductions, les vraies sont au musée), ainsi qu'une colonne. Celles-ci étaient des troncs de conifères dont la partie haute (donc étroite) était au sol. Sur cette photo je vous l'accorde, ce n'est pas ce qui saute le plus aux yeux.


Dans la salle du trône, nous pouvions voir des professionnels travailler à la restauration d'une fresque. Mais il eut été déplacé de les photographier.










Sur ces deux autres vues vous pourrez mieux noter la forme des colonnes, ainsi que la quantité d'eau qui nous tombait dessus. La première se situe vers les salles de bain et les appartement, là où l'on nous a aussi fait observer le puits de lumière qui permet l'éclairage et la climatisation, la seconde vous dévoile également une fresque permettant d'éclairer la légende du minotaure : le palais étant un véritable dédale, c'est de là qu'est tirée l'idée du labyrinthe. Des fresques représentant des jeunes gens et filles attrapant littéralement un taureau par les cornes pour se placer sur son dos lors d'un rituel religieux, ont laissé imaginé le reste.

De retour au car, j'échange mon T-shirt trempé contre un pull, Samuel fait le contraire. Le guide nous explique que nous allons faire une visite pédestre de la ville avant d'avoir un temps libre de 2h. Aucune affaire ne peut être laissée dans le car. Là c'est un peu la galère. Nous nous mettons à l'abri en nous demandant ce que nous allons faire, et le gros du groupe disparaît. Nous optons finalement pour aller manger chaud. Tant pis pour nos "lunch baskets". Une vraie pizza... un peu grande. Vu le prix et la taille des parapluies, nous laissons tomber et nous réfugions ensuite sous la devanture d'un cinéma en attendant une accalmie. Les titres sont en grec et en anglais, nous les déchiffrons donc aisément. Mais la prochaine séance est prévue à 19h...
Un petit tour dans les rues, les boutiques de souvenirs se ressemblent toutes, entre deux boutiques du genre "shopping" des mêmes qu'on trouve chez nous. Un parapluie, un souvenir, un parapluie, un souvenir. Nous revenons doucement vers l'endroit où le car nous a déposé. C'est derrière le musée archéologique. Celui-ci étant en restauration, pour une entrée plein tarif on ne peut visiter qu'une salle. Pas de quoi nous occuper, nous oublions, et restons sous l'auvent du boutique de souvenirs dans laquelle une vendeuse fait sa dentelle.
15h, la pluie s'arrête, et nous voyons nos collègues de galère arriver les uns après les autres : le car part à 15h30...
Lorsque nous arrivons à l'hôtel, il y a même un rayon de soleil pour nous accueillir, et nous allons saluer la piscine. L'eau est bonne, malgré un petit vent.

17 septembre 2009

Vacances : jeudi 10 septembre

Aujourd'hui, lever 7h00, préparation du sac et rapide déjeuner avant de récupérer nos "lunch basket" : nous partons en excursion à Gramvoussa. Tout à l'ouest de la Crête, au bout de la presqu'île, l'île douce de Gramvoussa comporte un fort vénitien. Le ciel gris se dégage alors que nous sommes sur le bateau. Une belle croisière nous permet d'admirer les côtes.

Nous sommes parmi les premiers à descendre du bateau et grimpons ensuite sur l'île au pas de charge pour faire des photos du fort avant qu'il ne soit envahi.








Nous y verrons aussi un gros lapin de garenne, que Samuel essaie de photographier, mais qui ne se laisse pas faire.
Lorsque nous redescendons, nous passons pour des fous : nous doublons tout le monde. Il faut dire que nous avons quand même le pied montagnard, et de bonnes chaussures. Il y en a qui sont en tongs, ou en talons aiguille...
Au bord de l'île un bateau est échoué. Depuis combien de temps ? Nous observons aussi des cristaux de sel dans les trous que la marée remplit avant de se retirer.








Après une baignade dans la baie, nous reprenons le bateau, qui nous emmène vers la lagune de Balos. L'eau y est très claire et calme, on y trouve du sable rose. Moi, je voulais une photo "informative", et banale, lui aurait aimé avoir l'eau sur le sable... Une belle galère, d'autant que le soleil commençait sérieusement à jouer à cache-cache.









La pluie nous ramène au bateau une heure avant son départ. D'abord petite, elle fait embarque de plus en plus de monde, puis le vent s'en mêle. Sur le trajet du retour, nous nous rabattrons même vers l'intérieur du bateau. Quel sera le temps pour l'excursion de demain ?

16 septembre 2009

Vacances : mercredi 9 septembre

Il fait beau, youpi ! Nous allons donc passer du temps sur la plage à ne rien faire. Un tour dans les vagues, un moment sur le transats, Samuel va au Beach Volley à 11h, retour dans l'eau ensuite. Un vrai jour de vacances. Pourvu qu'il fasse le même temps demain...
Samuel s'en donne à cœur joie avec son appareil photo, sur son sujet préféré : moi. Il me parle en prenant les photos, me raconte des bêtises et me contrarie. Voilà donc ce que ça donne :

Avertissement

Je l'ai promis en commentaire sur le blog de Dadou, moi je n'en parlerai pas. De bonne guerre je l'ai laissé l'écrire en commentaire mais souvenez-vous que je modère les commentaires : le prochain qui en parle ne sera pas publié. Trouvez autre chose. Je ne sais pas moi, "pourquoi les chats font 'miaou' ? " par exemple...

Vacances : mardi 8 septembre (2)

Nous sommes de retour pour l'aquagym. Comme vous vous en doutez, j'y participe mais pas Samuel, appareil photo à la main :

Après la sieste, nouvelle longue marche sur la plage, vers l'est cette fois-ci. Nous constatons qu'ici, on ne plaisante pas avec le drapeau rouge :

Autant dire qu'avec ce temps, nous nous ennuyons profondément,de retour, au chaud dans la chambre, avec un bouquin ou de la musique. Pourtant, nous ferions la même chose sur la plage, s'il faisait beau. Mais non, là, ça ne va pas...

15 septembre 2009

14 septembre 2009

Vacances : lundi 7 septembre

Nous avons mieux géré le timing du matin cette année, il faut dire qu'on devait être devant la porte à 02h15, on n'allait pas se lever trop tôt, 3/4 d'heure suffisent bien.
Cette fois notre avion part à l'heure, ça fait du bien. Comme dans la navette qui nous amenait à l'aéroport, je pique du nez, je lutte un peu pour voir le lever du soleil. Chaque fois que j'ouvre les yeux, la coloration orange de l'horizon se fait plus intense, la zone jaune allant sur le bleu clair s'agrandit. C'est pendant le petit déjeuner que le disque solaire commence à se former vraiment. Dommage que le hublot soit si petit !
Arrivés à l'aéroport nous testons la blague de Gad Elmaleh : "la première valise n'est jamais à personne, c'est un leurre pour attirer les autres". Faux, nous la voyons être empoignée au bout de quelques mètres.

Le planning des excursions à la main, nous montons dans le car qui va desservir tous les hôtels partenaires d'Héliade sur l'ouest de l'île. 2h30 de trajet nous permettent d'admirer le paysage. Avant le repas nous allons faire un tour sur la plage, et en profitons pour tremper nos pieds. Mauvaise idée : la mer est agitée...
A l'hôtel, nous apprécions le calme : peu de familles, pas de bousculade au buffet. Le jardin entre les bâtiments est planté de rosiers de toutes les couleurs...
Dans l'après- midi, le drapeau a beau être orange, nous ne résistons pas à l'attrait de la mer. Un bon bain fait du bien ! Et Samuel s'amuse avec son appareil photo.

5 septembre 2009

vacances : c'est pour bientôt

Voilà, nous prendrons l'avion lundi matin à 05h15 pour Héraklion. Les valises sont prêtes (à la trousse de toilette près), et nous avons tout de même bien glandouillé aujourd'hui.
Nous vous donnerons probablement beaucoup de nouvelles à notre retour.
Pour tous ceux qui n'ont pas notre chance, bonne rentrée !

3 septembre 2009

Pourquoi il n'y a plus de sondage ?

Parce que (presque) personne n'y répond. Si c'est pour que nous y répondions à votre place ce n'est pas la peine... Merci quand même à ceux qui avaient pris cette peine.

2 septembre 2009

Pourquoi j'ai fait de l'informatique :'(



Il y a maintenant un peu plus de 40 ans, un beau jour de juillet (le 21 pour être exact), l'Homme posa pour la 1ère fois le pied sur la lune. Je ne sais pas comment j'ai pu oublier de rendre hommage à la plus fantastique aventure du 20ème siècle.

Donc voilà je corrige le tir avec en prime pour les collectionneurs, les "spassionnés" voire les deux (comme moi) deux petits liens qui vont vous permettre de vous aussi mettre la main sur l'ensemble des photos des missions Apollo. Ces archives avaient été gardées secrètes pendant longtemps mais maintenant vous aussi vous pouvez télécharger ces images et remplir votre disque dur de cet instant mémorable. Et ainsi les ressortir dans quelques années pour les montrer à vos enfants, vos élèves ou pour, simplement, rêver tout seul devant votre PC de toucher un jour les cieux et plus haut encore.


Les photos ça se passe ici et


Ps: "Lune" de Olivier De Goursac, c'est ainsi que s'intitule un excellent livre qui m'a été offert par ma douce et que je vous recommande fortement.

Le chat de Simon (3)

29 août 2009

Dessert (3)

Depuis quelques temps déjà, ont débarqué en France les "smoothies". Qu'est-ce que c'est ? En tout cas vous payerez souvent ça bien trop cher pour que ça ne vaille pas le coup de les faire vous-même : c'est simplement des fruits mixés, à mi-chemin entre la purée et le jus.
Comme glace, je préfère généralement les sorbets aux crèmes glacées, certains prétendront que je suis bien une fille qui pense à sa ligne, mais je dois dire que la crème glacée aux fraises, j'ai toujours détesté, et globalement, l'impression laissée en bouche par les sorbets est plus agréable. Bon. Donc par exemple j'avais trouvé l'an dernier dans ma supérette préférée des bâtonnets "sorbet coco enrobage chocolat noir" qui me plaisaient beaucoup. Cette année il n'y en avait pas. Tant pis. Par contre j'ai découvert des bâtonnets "smoothies", et je me suis dit qu'on pourrait s'acheter des moules à glace et les faire nous-même. D'autant qu'en regardant les ingrédients je me suis dit qu'on enlèverait ainsi le sirop de glucose et toutes ces cochonneries.
Je n'ai pas trouvé de moules à glaces (pas encore), par contre j'ai trouvé une idée de smoothie : fraise pastèque. J'ai décidé d'essayer. Bon, j'ai un peu chargé en fraise, mais c'est délicieux. Et je me suis dit, tiens je vais les mettre dans des petits bocaux au freezer. L'effet obtenu était exactement ce que je voulais, il faut gratter avec la cuiller et on a l'impression d'une granita...

25 août 2009

votre image sur le net

Certains parmi vous font partie d'un ou plusieurs cyber réseau social. Je veux parler des facebook, viadéo et autres myspace. Ou bien tiennent un blog... D'autres sont absolument contre, et préfèrent que leur vie privée le reste entièrement.
Il y a des gens qui ont perdu leur emploi à cause de ça...
Une étude américaine a montré qu'aujourd'hui, un employeur sur deux va chercher des renseignements sur ses candidats grâce à ces réseaux. Aucune étude n'a été faite en France (du moins à ma connaissance), mais selon le type d'emploi que vous visez, cela peut vous aider, ou vous desservir. Vous aider car vous montrez ainsi votre créativité, ou simplement que vous savez vous servir de ces technologies. Les employeurs interrogés aux USA disent en effet que beaucoup ont trouvé là une image sympathique de leur candidats.
Vous desservir car des photos ou des films de vos exploits de fin de soirée trop arrosée ne sont jamais une bonne image (souvenez vous aussi que vous devez demander l'autorisation avant de publier des photos de vos proches, et qu'ils vous le doivent aussi).
Cependant, les motifs de refus invoqués concernent aussi, et peut-être surtout, des propos tenus au sujet de précédents employeurs ou collègues. Or on peut tout autant vous faire parler d'eux en entretien et les résultats seront les mêmes... Alors, si vous avez par passé tenu un "skyblog" écrit en "kikoolol" et dans lequel vous insultiez joyeusement vos profs et copains en employant un vocabulaire des plus fleuri, tâchez de le détruire dans les plus brefs délais...
Souvenez-vous aussi que la pire image qu'on puisse publier de vous a été vue par des vrais gens, et que ceux-là pourront aussi vous reconnaître quand ils vous feront passer un entretien...

14 août 2009

Le chat de Simon

C'est parti pour une série de vidéos qui nous a fait triper avec Agnès
(attention c'est encore meilleur avec le son)

7 août 2009

des légumes et de l'éducation

- Qu'est-ce que je pourrais me faire à manger pour demain midi?
- Eh bien il y a des croques bolognaise, et avec on peut faire des courgettes et des poivrons.
- C'est long, ça, et c'est compliqué...
- Mais non, il suffit de les couper en morceaux, de les mettre dans une casserole à feu doux avec un couvercle et de leur demander régulièrement comment ils vont à l'aide d'une spatule.
Pendant ce temps, on a mangé, et on est allés se poser devant Scrubs. On leur a demandé, pourtant, comment ils allaient, je leur ai même mis un peu de curcuma. Mais voilà, on les a un peu oubliés en regardant le second épisode, et quand on est revenus dans la cuisine, ça sentait le brûlé.

- On les a oubliés alors ils se sont vengés...
- Dites donc vous autres, en voilà des façons ! Nous on vous faisait confiance, et vous vous brûlez, comme ça ! C'est gneu !
- Hahaha !
- Tu pourrais éviter de te moquer de moi, quand même. Comment je garde une crédibilité si tu me soutiens pas dans leur éducation ?!

1 août 2009

Dessert (2)

J'avais acheté des pommes, et puis je les ai laissées se morfondre dans mon placard. Comme elles commençaient à se ratatiner un peu, je les ai mises au frigo. L'une d'elle a fait un gros bisou au fond du frigo, vous savez, là où ça gèle un peu... J'ai fini par me décider à les passer à la casserole. Une sorte de compote. Découpées en petits morceaux, une gousse de vanille, un fond d'eau, à feu doux. Personnellement j'ai tendance à préférer les fruits frais à la compote, c'est donc plus souvent Samuel qui en prend pour son dessert. Mais en l'occurrence, de celle-là, il n'en prenait pas. Hier soir donc, je lui propose un dessert :
- Une compote, de la glace à la vanille, un abricot ?
- On a de la glace à l'abricot ? (mine ravie)
- Non, on a oublié de racheter de la glace pour compléter la vanille. Là j'avais dit "un abricot".
- Ah... (mine déçue). Tu vas prendre quoi, toi ?
- De la compote de pommes.
- Laquelle ?
- Celle qui est dans un pot avec écrit "Barilla" dessus.
- Ah tiens j'y pensais plus à celle-là, comme quoi l'emballage ça fait beaucoup.
Je lui sors une compote pomme-châtaigne, mais il voudrait d'abord goûter la mienne. Elle manque un peu de sucre à son goût, mais les morceaux bien cuits, légèrement caramélisés, lui donnent de l'inspiration. Il se lève, et sort la glace à la vanille pour l'associer à la compote : il a résolu le problème du sucre, et trouve son dessert délicieux.

31 juillet 2009

conversation du matin

- Mmmmmh!...
- T'arrives pas bien à te lever ce matin.
- Toi non plus...
- Si moi j'y arrive très bien.
- Alors pourquoi tu le fais pas ?
- J'ai pas besoin de te le prouver, j'y arrive c'est tout.
- Eh ben si tu y arrives tu pourrais m'aider à te lever.
- Comment ?
- ...
- Hein, dis comment ? dis comment ?
- Pfff! ... ok je me lève, comme ça tu pourras prendre mon oreiller.
- Tu vois que j'ai pu t'aider.
- ???
- Oui, psychologiquement. En t'agaçant.
- C'est vrai que c'est efficace.